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mardi 31 mai 2011

Derniers jours à Scarborough Beach

Pour conclure en apothéose notre séjour à l'auberge de jeunesse de Scarborough, nous avons sympathisé avec des français, apparemment au courant de "tous les bons plans" du coin : c'est donc un repas gratis qui s'est présenté, le dimanche soir. Dans un lieu assez singulier : une église...coup d'envoi à 18h, ça ne rigole pas chez les chrétiens du coin !
Au menu : un bon ragout-gerboulade avec de l'orange juice tang-style trop lyophilisée servi dans des bidons d'essence. Très correct au demeurant :)
Top, 19h pétantes et le pasteur nous invite à chanter l'amour de Jésus. Cela a plus l'air d'une séance de karaoké moderne avec clip en 3D et sous-titrage qu'à une messe...interprétation des paroles du Christ qui résiste à la tentation du Sheitan et nous voilà au dessert : Glace au chocolat et crumble aux pommes ! Très sympa, tout comme la discussion avec le pasteur Sud-Africain. Un excellent souvenir matérialisé à jamais par... The Surfers Bible !

J'ai presque l'air d'un pratiquant prosélyte :p

L'arrivée

Ayant presque une semaine de retard sur la rédaction du blog, il va falloir résumer les évènements (une fois qu'on croit avoir arrêté le boulot, on y est encore...) :
Sur le trajet Singapour -> Perth, les hôtesses ont eu la délicatesse de nous offrir des serviettes chaudes destinées à éponger nos fronts couverts de transpiration graisseuse, ainsi que la moiteur de nos mains...notre voisin de rangée, éminemment plus distingué a eu plus d'imagination : il s'est copieusement passé la serviette sous les aisselles avant de coincer le torchon fraîchement teinté dans le porte-boisson. Sur ce, nous avons regardé le menu... Bon appétit !
Descente à l'aéroport de Perth avec 4 tonnes de bagages sur le dos. Un chien policier, mieux fringué que nous et formé pour la détection des aliments (au moins un dog +5), vient nous renifler les sacs et les parties...rien d'avarié apparemment.

Un petit cliché devant l'aéroport international avant de prendre le bus vers l'aéroport domestique (tiens, j'ai oublié de résumer, car tout le monde se fout des changements de ligne, me fait on signe), donc bref...on arrive à l'auberge :


L'auberge...dortoir de 6 lits, que des mecs... et Amélie. Un Mancunien charpentier qui roupille le jour et charpente la nuit. Un australien paumé qui passe son temps à dormir à l'auberge quand il ne dort pas à la plage, un étudiant et un autre anglais apparemment très fatigué.
Ce fut l'occasion de taper la belote avec un Turcallemand et des Français venus faire infortune.
Ensuite la plage, le soleil, farniente :

Et dire que c'est l'hiver...
(Amelie : te-ma un peu comme j'ai l'air musclée!)
et les formalités administratives qui nous bouffent tout le reste du temps (compte en banque, téléphone portable., recherche d'un van et j'en passe..) -> version Lilian
Pour un peu plus d'enthousiasme, voici la version Amélienne : A peine 3 jours en Australie et nous avons déjà 1 téléphone, 2 comptes en banque et des rdv pour des vans !!!

Fin de semaine, il pleut et le backpack prend l'eau. Les rats quitteront bientôt le navire pour se réfugier dans un chateau fort...mais ça, ce sera une autre histoire!

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dimanche 29 mai 2011

Singapore Butterflight...

Nous grimpons dans l'avion, précédés de charmantes asiatiques en tenues folklo...on s'attend à un cabriole-show digne du cirque du soleil. Que nenni, ce sont simplement des hotesses Singapore Airlines en tenue Pierre Balmain (bolero kebaya et jupe sarong).


Trois repas mitigés plus tard et 6h d'écran (proprement intégré au siège de devant, du beau boulot) dans les mirettes entrecoupées de siestes sommaires, c'est l'atterrisage à Singap'
Nous sommes littéralement décalqués...d'où ces quelques photos de moquette à l'aéroport...


Les papillons...


Et pis c'est tout...ronfllll

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Top Départ !

Arrivées dès 9h00 du matin à Roissy 1, comme soit-disant convenu la veille, Claire et Amélie ont eu le temps de petit déjeuner paisiblement avant de me voir débarquer comme une fleur, 1h et demie plus tard (et autant de retard me demande-t-on de préciser...).
Sur ces bonnes bases, nous avons attendu l'embarquement, dans un climat particulièrement serein où le dilettantisme décontracté de mes plaisanteries a fort loyalement trouvé un écho empreint de cordial ressentiment.
Heureusement, sonna l'heure de l'embarquement à l'intant où la remise en cause totale de notre projet revint sur le tapis (All in, tu te couches ? -Non, je décolle...)
Nos Adieux à Claire et le tapis roulant incliné nous avale vers le boarding hall.
Et c'est parti pour 13h de vol !
Le sourire de l'attente
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